Aujourd’hui, on sait qu’il existe une réelle corrélation entre émotions et cancer. Un choc émotionnel, un ou plusieurs événements traumatiques, des émotions réprimées ou négatives (la colère, la tristesse…) font le lit de la maladie.

Le professeur Khayat, éminent oncologue français, connu pour son institut contre le cancer ou son « plan cancer » soigne des malades atteints du cancer depuis 45 ans. Dans son livre « enquête vérité : vous n’aurez plus jamais peur du cancer » (lien amazon pour achat), affirme que « nous sommes notre meilleur anti-cancer ». Il a constaté une récurrence dans les histoires de vie de ses malades.

 Il identifie un facteur commun : des chocs émotionnels, un ou plusieurs événements causant un stress dépassant nos capacités de gestion, des émotions négatives fortement ancrées telles que la colère ou la tristesse.

Ce sont, selon lui, des éléments déclencheurs ou aggravant de la maladie :« si nous souffrons, ce sont nos cellules qui souffrent ». lien pour la vidéo de l’interview du DR Khayat sur RTL.

Le livre du Dr Julien Drouin, psychothérapeute, « Cancer : et si nos émotions pouvaient nous guérir ? » va dans le même sens. Il met en avant l’importance de la libération émotionnelle pour favoriser la guérison. Il redéfinit ce qu’est le cancer : un « « dysfonctionnement du processus de réparation des plaies ». Il met en lumière les mécanismes épigénétiques, énergétiques et psychologiques impliqués dans la relation entre les émotions et le cancer.

Il propose une stratégie globale ainsi que des outils tels que la méditation et l’EFT pour utiliser à son avantage le pouvoir des émotions qui mène à la guérison. Lien amazon et photo pour le livre

J’accompagne les personnes souffrant du cancer en suivant la méthode du Dr Julien Drouin.  Dans le cas de cette prise en charge, le patient s’engage sur une consultation par semaine durant 3 mois minimum pour permettre un travail en profondeur. Dans le cadre de cet accompagnement spécifique, je me rends complètement disponible au téléphone ou par skype en cas de besoin.

 Encore une fois, le travail thérapeutique et l’EFT ne se substituent en aucun cas aux traitements médicaux et au suivi oncologique.